Collection Lesbiennes. Ma Belle-SœUr Me Dévoile Ma Bisexuelle (6/7)

- Dis-moi Claudia, qu’as-tu voulu dire quand tu m’as dit « c’est une mal baisée, mon frère n’est pas à la hauteur avec les femmes. »

C’est sur la plage naturiste où j’emmène mes s que nous venons de prendre un bain à deux heures du matin que je pose cette question à Claudia ma belle-sœur.
Ma belle-sœur, celle qui sait mieux que quiconque déceler mes désirs bien cachés en moi et me faire vivre ce que je devrais considérer comme un calvaire mais qui s’avère être une expérience extraordinaire.

- Quand nous étions petits, Franck et moi étions très liés, nous venions ici tous les ans.
Lorsque nous avons commencé à sortir sans nos parents, vers 18 ans pour lui et un peu plus jeunes pour moi, j’ai découvert mon homosexualité.
Je draguais des filles et souvent nous finissions dans les bras l’une de l’autre.
Franck lui était toujours en retrait, attendant que j’aie fini de me satisfaire avec ces filles pour que nous rentrions.
Un jour, j’ai rencontré Sylvie, c’est la première fille qui m’a avoué être bisexuelle.
Je lui ai donné du plaisir et je lui ai demandé de dépuceler mon frère.
C’est ici que ça s’est fait, la plage n’était pas encore naturiste.
C’est le jour de la fête de Marie le 15 août que nous avions fait un feu de joie et qu’elle est venue se frotter à lui.
Ils se sont isolés là-bas près des rochers et il l’a baisé.

C’est drôle de parler du dépucelage de mon mari, surtout raconter par ma belle-sœur.

- Le surlendemain, j’ai revu Sylvie qui s’est foutue de ma gueule, mon frère baisait comme un lapin.
J’ai pensé que c’était comme souvent la première fois.
J’ai renouvelé l’expérience et chaque fois les filles m’ont dit que c’était un éjaculateur précoce.
Nous étions demi-frère et sœurs, j’aurais bien aimé lui apprendre la patience avec une femme mais l’acte que j’aurais commis m’aurais trop marqué.


Par chance tu l’as rencontré et tu as semblé te satisfaire de cette situation.
Quand mon neveu est né, j’ai su que tu avais réussi à ce qu’il te pénètre pour te faire tes s.
Quand je t’ai entendu hurler de plaisir ce soir entre ces deux bites, je suis certaine que c’était la première fois que des sexes te faisaient jouir.
- Tu as raison Claudia, tu me poses un seul problème, jusqu’à ce jour je savais me satisfaire de ce qu’il me proposait, je veux dès le mois prochain quand tu seras parti et qu’il arrivera redevenir la femme des vœux que j’ai prononcés.
- En attendant au lit, demain il faut que je fasse cinq kilomètres pour récupérer ma voiture.

De retour chez nous, nous prenons une douche ensemble.
Elle m’essuie et nous faisons l’extinction des feux.
J’ai un peu mal au cul après la pénétration, mais je suis si crevée qu’aucun autre jeu n’est possible.

Les jeux ils vont continuer jusqu’à son départ.
Un soir où elle a ouvert sa valise à malice, je vois une boîte qu’elle ne m’a pas fait connaître.
Elle vient de me mettre les colliers me coupant le sang, faisant ressortir la pointe de mes seins.

- Qu’as-tu dans cette boîte Claudia ?
- Ça c’est très spécial, c’est tout le matériel nécessaire pour poser des piercings sur le corps de certaines de mes clientes.
Regarde.

J’aurais dû me taire, je suis une indécrottable bavarde.

- C’est avec cette pince que je saisis le téton et avec cette aiguille que je perce.
Tu vois, tout est stérilisé et sous plastique.

Elle sort la pince et me saisit le bout du téton.
J’ai la sensation qu’elle appuie plus fort qu’elle doit le faire avec ses clientes, mais j’aime et quand elle fait sortir l’aiguille, je m’attends à tout sauf à ce qu’elle me pique.
Bien sûr, elle s’est déjà servie d’aiguille mais elle les plaçait et une fois enlevé tout se rebouchait.

- Regarde, je vais te mettre des piercings médicaux comme on en met quand on perce les oreilles afin d’éviter l’infection.

- Mais Franck, que dira-t-il quand il viendra en vacances fin de mois.
- Je t’ai dit le poids que j’ai sur ton mari, je vais l’appeler.
Sans lui parler que j’ai fait de toi une bisexuelle, même si je suis sûr qu’il aimerait que je t’aie séduite.

Voilà, les vacances se sont poursuivies sans plus de turpitude entre Claudia et moi.
Elle me nettoyait les seins tous les jours, quand elle me passait l’alcool sur la pointe des seins, contrairement au commun des mortels, j’apprécie.

Comme tous les jours nous emmenons les s à la plage, le naturiste doit leur paraître naturel à leur âge car à aucun moment ils n’ont fait la moindre réflexion.
Leur père leur téléphone avant qu’ils soient couchés.
Au début j’ai eu un peu peur qu’il lui dise que leur maman se mettait à poil sur la plage, mais il n’en ait rien.

- Josy as-tu de la crème solaire mon tube est vide.
- Attends, je regarde.
Mince, j’ai laissé le mien sur ma table de nuit dans notre chambre.
Passe-moi ton paréo, je vais aller le chercher.

J’entoure ma poitrine et je me dirige vers la villa de Jacques.
Arrivé à quelques mètres, je le vois descendre de la terrasse et se diriger vers le côté.
On peut-il bien aller, sur le côté il y a un portillon qui donne sur le jardin de la voisine.
J’ai déjà discuté avec elle, elle a 45 ans et est notaire dans la ville.
Elle s’appelle Victoria.
Elle a son étude non loin de la place de la mairie et est une fort jolie femme.
Je l’ai toujours vu en tailleur le chemisier dégrafé de deux boutons montrant sa vallée profonde.
Jacques monte les marches de la villa voisine et avant qu’il n’ait besoin de frapper, la porte s’ouvre et la belle apparaît en topless n’ayant qu’un mini-string sur elle.
Il l’embrasse en baiser d’amoureux rapide, la porte se referme.
Beau-papa malgré ses 60 ans semble être encore vert.
Je vais chercher le tube et je retourne à la plage.

Je choisis de me taire envers sa fille sur la liaison que son père semble entretenir avec cette femme légèrement plus jeune que lui et qui est si belle.

Les vacances se terminent pour ma belle-sœur, la veille de son départ elle m’offre des piercings pour mettre à mes seins avec à chaque extrémité des pierres en diamants montées sur une tige en or blanc.

- Claudia, tu m’avais promis de téléphoner à ton frère concernant mes piercings pour qu’il ne soit pas étonné quand il arrivera demain !
- C’est fait, je l’ai appelé ce matin, d’ailleurs il t’embrasse et attend samedi matin avec impatience pour vous retrouver avec tes s.
Au fait je lui ai dit pour la plage naturiste, il est content que les petits vivent une vie de liberté.

Contente, la dernière nuit est torride, Claudia veut de moi que je lui donne du plaisir couvrant le mois où je la retrouverais à Paris.
Elle a pour habitude de ne pas travailler les lundis, je vais la retrouver dès le 2 septembre dans son appartement, elle veut que notre relation soit durable.
Je suis contente, que nous restions proches l’une de l’autre, j’aime ses jeux pervers…

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